Type: Cancer du poumon non à petites cellules, métastatique de stade 4 non préalablement traités, avec une - Le promoteur: Merck Sharp & Dohme (MSD)
Merck Sharp & Dohme (MSD) MAJ Il y a 4 ans

Étude KEYNOTE-598 : étude de phase 3 randomisée, en double aveugle, évaluant l’efficacité du pembrolizumab associé à de l’ipilimumab par rapport à du pembrolizumab associé à un placebo, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules, métastatique de stade 4 non préalablement traités, avec une expression positive du PD-L1 (TPS ≥ 50%). [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] [essai clos aux inclusions] Le cancer du poumon non à petites cellules prend habituellement naissance dans les cellules glandulaires situées dans la partie externe du poumon et porte le nom d’adénocarcinome. Il peut aussi prendre naissance dans les cellules minces et plates appelées cellules squameuses. Celles-ci tapissent les bronches qui sont les grosses voies respiratoires se ramifiant de la trachée jusqu’aux poumons. On parle alors de carcinome épidermoïde du poumon. Le stade 4 signifie que le cancer s’est propagé à d’autres parties du corps, on parle alors d’un cancer du poumon non à petites cellules métastasique. Le traitement par immunothérapie est la référence du cancer du poumon non à petites cellules métastatique de stade 4 est l’immunothérapie. Les médicaments immunothérapeutiques employés sont entre autres le pembrolizumab. Le pembrolizumab stimule le système immunitaire du corps pour combattre les cellules cancéreuses. Il cible et bloque une protéine appelée PD-1 à la surface de certaines cellules immunitaires, appelée cellules T. Le blocage de PD-1 amène les cellules T à rechercher et tuer les cellules cancéreuses. L’ipilimumab agit en stimulant certaines cellules immunitaires appelées cellules T. Il bloque la protéine CTLA-4 située à la surface des cellules T afin que les lymphocytes T restent activés et actifs pour attaquer les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité du pembrolizumab associé à de l’ipilimumab par rapport à du pembrolizumab associé à un placebo, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules, métastatique de stade 4 non préalablement traités, avec une expression positive du PD-L1 (TPS ≥ 50%). Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du pembrolizumab toutes les 3 semaines jusqu’à 35 fois, associé à de l'ipilimumab toutes les 6 semaines jusqu’à 18 fois. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2e groupe recevront du pembrolizumab toutes les 3 semaines jusqu’à 35 fois, associé à un placebo toutes les 6 semaines jusqu’à 18 fois. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront revus toutes les 3 semaines, puis tous les 3 mois et toutes les 12 semaines. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 5 ans après le début de l’étude.

Essai clos aux inclusions
Merck Sharp & Dohme (MSD) MAJ Il y a 5 ans

Étude KEYNOTE-598 : étude de phase 3 randomisée, en double aveugle, évaluant l’efficacité du pembrolizumab associé à de l’ipilimumab par rapport à du pembrolizumab associé à un placebo, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules, métastatique de stade 4 non préalablement traités, avec une expression positive du PD-L1 (TPS ≥ 50%). [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] Le cancer du poumon non à petites cellules prend habituellement naissance dans les cellules glandulaires situées dans la partie externe du poumon et porte le nom d’adénocarcinome. Il peut aussi prendre naissance dans les cellules minces et plates appelées cellules squameuses. Celles-ci tapissent les bronches qui sont les grosses voies respiratoires se ramifiant de la trachée jusqu’aux poumons. On parle alors de carcinome épidermoïde du poumon. Le stade 4 signifie que le cancer s’est propagé à d’autres parties du corps, on parle alors d’un cancer du poumon non à petites cellules métastasique. Le traitement par immunothérapie est la référence du cancer du poumon non à petites cellules métastatique de stade 4 est l’immunothérapie. Les médicaments immunothérapeutiques employés sont entre autres le pembrolizumab. Le pembrolizumab stimule le système immunitaire du corps pour combattre les cellules cancéreuses. Il cible et bloque une protéine appelée PD-1 à la surface de certaines cellules immunitaires, appelée cellules T. Le blocage de PD-1 amène les cellules T à rechercher et tuer les cellules cancéreuses. L’ipilimumab agit en stimulant certaines cellules immunitaires appelées cellules T. Il bloque la protéine CTLA-4 située à la surface des cellules T afin que les lymphocytes T restent activés et actifs pour attaquer les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité du pembrolizumab associé à de l’ipilimumab par rapport à du pembrolizumab associé à un placebo, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules, métastatique de stade 4 non préalablement traités, avec une expression positive du PD-L1 (TPS ≥ 50%). Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du pembrolizumab toutes les 3 semaines jusqu’à 35 fois, associé à de l'ipilimumab toutes les 6 semaines jusqu’à 18 fois. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2e groupe recevront du pembrolizumab toutes les 3 semaines jusqu’à 35 fois, associé à un placebo toutes les 6 semaines jusqu’à 18 fois. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront revus toutes les 3 semaines, puis tous les 3 mois et toutes les 12 semaines. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 5 ans après le début de l’étude.

Essai ouvert aux inclusions